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samedi 26 octobre 2013

Problèmes de tuyauterie

Non, ce n'est pas un jeu de mot avec la problématique de saison. Juste un "truc" écologique pour déboucher les éviers.
J'en profite pour partager avec vous cette chanson de Jeanne Cherhal. Tout y est : la nostalgie de l'enfance, l'hommage d'une fille à son père et… l'humour !
Mais revenons à nos moutons : mélanger à l'avance dans un bocal moitié bicarbonate de sodium et moitié sel fin. Mettre un peu de ces poudres dans le trou de l'évier ou du lavabo et verser dessus du vinaigre blanc bouillant. Attention : verser petit à petit et avec la fenêtre ouverte parce que les vapeurs ne sentent pas bon.
Évidemment, il faudrait le faire régulièrement (toutes les semaines ?). Mais quand, comme moi, vous avez laissé l'évier se boucher, il vous faudra le faire plusieurs jours de suite.
En plus, comme ça, vous enlevé le calcaire de votre bouilloire. Elle est pas belle, la vie ?!

jeudi 24 octobre 2013

Petit exercice pour développer son bonheur

Voici un petit exercice tout simple, que j’ai expérimenté avec beaucoup de profit et que je partage avec vous aujourd’hui :

Pendant quatre jours de suite, décrire par écrit et pendant 20 minutes son avenir rêvé. Parler de ses envies et de ses objectifs profonds en les imaginant atteints (donc, au présent de l’indicatif). Décrire le meilleur de soi-même à l’avenir.

Cet exercice est proposé par Florence Servan-Schreiber dans 3 kifs par jour.

lundi 21 octobre 2013

Féminité (6)

La femme est une passeuse.
Toutes les âmes qui s'incarnent sur cette terre sont passées par le ventre d'une femme. Oui, toi aussi, ami lecteur !
Or, il arrive un moment dans la vie d'une femme où cela n'est plus possible. Ce moment, c'est celui où la femme doit comprendre que ce n'est pas parce qu'elle ne peut plus porter d'enfant qu'elle devient inutile. Elle demeure une passeuse : d'émotions, de connaissances, de féminité.
C'est à ce moment que sa forte connexion au yin est importante, que la pratique énergétique (qi gong, tai chi…) peut l'aider et que le shiatsu peut constituer un accompagnement doux et naturel de cette étape importante de la vie.

vendredi 18 octobre 2013

Mes merveilleux ennemis

Dans son livre L'apprentissage de l'imperfection, le chercheur en psychologie positive Tal Ben Shahar évoque par l'oxymore "mon merveilleux ennemi" un aspect enrichissant des relations humaines.
Les personnes avec lesquelles nos relations sont difficiles peuvent nous faire grandement avancer, pour peu que nous acceptions de le faire.
Nous connaissons tous quelqu'un (il est tellement plus facile de voir cela chez les autres !) qui s'arc-boute, pour son plus grand malheur, contre une autre personne ou un groupe. Invectives, prises de bec (et de tête), ressassement. Bref, on est loin du bonheur. Et l'on ne prend pas toujours conscience que l'on paye le prix fort.
Or, notre "ennemi" nous apprend toujours quelque chose de nous. Peut-être que ce que nous détestons chez lui résonne avec quelque chose dont nous ne sommes pas fier. Peut-être qu'il réveille en nous une peur irrépressible qui nous conduit à un comportement insensé.
Alors, regardez bien vos "ennemis" et essayez de les trouver merveilleux, vous ne vous en aimerez que davantage.

jeudi 17 octobre 2013

Féminité (5)

L'une des bases de la médecine traditionnelle chinoise est la théorie du yin et du yang. Les Chinois désignent par yin et yang la bipolarité observée dans la nature. Ce sont deux forces :
- complémentaires (lorsque le yin augmente, le yang diminue, et vice versa),
- relatives (il y a toujours du yin dans le yang et inversement, comme on le voit dans le symbole du tao)
- et interdépendantes (elles ne peuvent exister l'une sans l'autre).
Ainsi, on peut dire que la femme est yin par rapport à l'homme qui est yang. Cependant, certaines femmes sont plutôt yang, parfois même davantage que certains hommes.
De la même façon, certaines parties du corps de la femme sont yin (son ventre par exemple), alors que d'autres sont yang (sa poitrine).
La pratique du Tao de la femme Lune m'a convaincue que la femme doit se connecter fortement à son yin profond pour compenser l'excès de yang du monde dans lequel nous vivons.
Ce n'est pas en luttant de façon yang contre le yang (ce que fait le féminisme extrémiste) que nous trouverons l'équilibre, mais bien plutôt en affirmant notre yin, en balance. Complémentarité, relativité et interdépendance. Un peu de douceur dans ce monde de brutes !

mercredi 16 octobre 2013

Féminité (4)

Mon opéra préféré, de tous les temps, celui que je connais par cœur, est le Don Giovanni de Mozart, inspiré par le mythe de Don Juan. Vous allez me dire : quelle belle image de la femme ! Don Juan séduit toutes les femmes qu'il croise : une jeune aristocrate dont le père et le fiancé peinent à laver l'honneur, une paysanne sur le point de se marier, et un bon millier d'autres. Et l'on pleure et l'on s'indigne avec la femme qu'il a quittée, sur la façon dont il traite la gent féminine. Heureusement qu'il finit par brûler dans les flammes de l'enfer !!!
A vrai dire, la contradiction entre mon amour pour cet opéra et mon image de la féminité ne m'est apparue que récemment. Et, en même temps, j'en ai trouvé la clé.
Bien sûr, Don Juan ne reste pas longtemps amoureux d'une femme. Mais quel amour ! Dans son regard, elle peut puiser la confiance, la certitude qu'elle est belle, désirable, qu'elle est une femme, quoi !
Et un souvenir comme celui-ci, ça vaut une énorme dose de gratitude, vous ne trouvez pas ?
Personnellement, je l'ai déjà exprimée à qui de droit. Et vous ?

mardi 15 octobre 2013

Féminité (3)

Pour préciser un peu le message précédent sur ce sujet (2), je voudrais prendre l'exemple de la mère. En se consacrant corps et âme à ses enfants, une mère peut avoir la sensation de leur donner le maximum. Or, les enfants apprennent par l'exemple.
Donc, si la mère prend du temps pour elle, sans culpabiliser, les enfants apprendront : je suis une personne importante, je peux faire des choses pour moi tout en continuant à aimer mes proches, j'en reviendrai vers eux enrichi(e) d'expériences nouvelles.
Croyez-en mon expérience, on se rend compte à ce moment-là qu'ils peuvent survivre sans nous (oui, je sais, c'est terrible !), qu'ils ne tombent pas malades même s'ils mangent des pâtes trois fois par semaine (et les légumes, alors ?!) et qu'ils s'endorment sans notre câlin du soir (bouhou !).
Alors, comme ça, on a tous passé une bonne soirée ! C'est chouette, non ?!

lundi 14 octobre 2013

Sablés d'automne

Je crois que c'est ma recette de biscuits préférée. Une autre raison, en tout cas, pour laquelle j'aime l'automne.
Mélanger 100 g de farine de châtaignes, 75 g de poudre d'amandes, 65 g de sucre de canne blond, 50 g de purée de noisettes, 2 œufs, 2 c à s d'huile d'olive et 8 gouttes d'huile essentielle de vanille.
Étaler la pâte sur la plaque du four, sur une épaisseur de 1 cm.
Faire cuire pendant 20 mn environ puis découper en carrés. Laisser refroidir.
Bon, d'accord, j'avoue, je les trouve encore meilleurs avec du chocolat concassé !


photo © Aurélie Baconnet

 Cette recette est inspirée du livre de Valérie CUPILLARD, Desserts et pains sans gluten (Paris, La Plage, 2004).

dimanche 13 octobre 2013

Féminité (2)

Je félicite ici solennellement les femmes qui sont venues recevoir un shiatsu aux Echos de Soi. Elles ont fait le premier pas, le plus difficile, et chaque pas qu'elles feront par la suite sera plus facile à faire. Même si elles ne reviennent pas, parce que le shiatsu ne leur convient pas, parce que ma personnalité ne leur convient pas, je leur tire mon chapeau.
Encore aujourd'hui les femmes considèrent souvent (même si cela est inconscient) qu'elles doivent d'abord s'occuper de leur mari, de leurs enfants, de leur maison, de leur travail… et à la fin, s'il leur reste un peu de temps et d'énergie (ça, c'est si elles n'ont pas de chien), d'elles-mêmes.
Or, j'ai appris quelque chose de l'un de mes formateurs, le Dr Pierre-Noël Delatte (un homme, rendez-vous compte ! et "d'un certain âge" ! et un médecin !) : ce n'est pas en restant au fond du trou que l'on peut faire s'élever les autres, même si on les tient à bout de bras. En revanche, en s'élevant soi-même, on rayonne et l'on entraîne ceux que l'on aime vers le haut.
C'est une image que j'aime beaucoup, et dont je vérifie la justesse tous les jours.

samedi 12 octobre 2013

Féminité (1)

Je suis une femme.
Au fond de moi, j'ai toujours su que c'était une chance, mais ça n'était pas simple pour autant. L'image que la société donne des femmes ne me convient pas. Je ne me reconnais ni dans les magazines féminins, ni dans le féminisme, ni dans la parité.
La plupart des lecteurs de ce blog étant des lectrices, j'ai décidé d'y partager ma vision de la féminité, sachant que celle-ci m'occupe beaucoup en ce moment. Vos remarques sont les bienvenues.
Si ces messages vous intéressent, il vous suffit de cliquer sur le mot "féminité" dans la liste des libellés, dans la colonne de droite, pour voir s'afficher tous les messages traitant de ce sujet.
Ami lecteur, si tu es un homme, tu es peut-être son amoureux, son frère, son père, et en tout cas, au minimum, le fils d'une femme. C'est une bonne raison pour rester.

vendredi 11 octobre 2013

Seule !

Comment lisez-vous ce titre ? En positif ou en négatif ?
Longtemps, j'ai redouté la solitude. Mon kif de cette semaine a pourtant bien été un moment de solitude.
En ce moment, je me rends une fois par semaine dans l'Yonne pour des raisons professionnelles. Et, chaque semaine, je m'offre un moment de recueillement dans l'abbatiale de Pontigny.
Les fois précédentes, il y avait toujours des visiteurs, et dès que l'on fait un bruit, dans ce genre de grand vaisseau, ça se répercute partout.
Et bien, cette semaine, j'ai eu la grande chance d'avoir ce lieu magnifique pour moi toute seule. (Remarquez, il valait mieux, parce que j'avais enlevé mes chaussures !)

Cette visite sur les pas d'un guide aurait été riche de savoirs partagés.
Cette visite au bras d'un amoureux aurait été riche d'émotions partagées.
Cette visite en tête à tête avec moi-même a été riche de connaissance de soi et, ma foi, je suis pleine de gratitude pour cette occasion !


photo © Aurélie Baconnet

jeudi 10 octobre 2013

L'amour ! encore et toujours !

Savez-vous quel était le message de mon Yogi Tea ce matin ?
(Pour ceux qui ne connaissent pas, chaque sachet de Yogi Tea comporte un petit message positif).

"La gratitude conduit à l'amour."

Elle est pas belle, la vie ?

lundi 7 octobre 2013

Recevoir un shiatsu, c'est le pied !

Hier a eu lieu le premier stage de la formation shiatsu "bien-être". De 10h à 18h, j'ai partagé avec des personnes motivées ma passion pour le shiatsu.
Nous avons parlé théorie avec les saisons et plus spécifiquement l'automne, et nous avons travaillé sur le ventre.
J'avais consciencieusement préparé mes cours, mais il y a une chose que je n'avais pas prévue : c'est que j'allais recevoir des shiatsus toute la journée !! Et bien, je vous le dis comme je le pense : c'est le pied !

samedi 5 octobre 2013

Regarde où tu mets les pieds !

Combien de fois je l'ai entendue (euh, dite aussi, sûrement), cette phrase ! Lancée sur un ton de reproche le plus souvent, par un parent qui exprime sa peur de voir son enfant tomber.
Et bien, aujourd'hui, nous sommes allés "nous asseoir dans l'herbe tendre" comme dit mon poète de presque 7 ans et observer les plantes sauvages. Nous en avons trouvé plus d'une trentaine d'espèces, aidés que nous étions par le botaniste Gérard Arnal.
Une bonne raison de regarder où l'on met les pieds, la prochaine fois qu'on marchera dans l'herbe.

photo © Aurélie Baconnet

vendredi 4 octobre 2013

Patience

"Je n’attends rien… Je participe activement à laisser les choses prendre forme naturellement."

Le mantra du moment pour moi.
Un jour, j'y arriverai, et ce sera chouette !

jeudi 3 octobre 2013

Franchir la bulle avec amour

Lundi a eu lieu le premier atelier de la formation shiatsu "bien-être". L'un des propos du cours était d'apprendre à franchir la bulle avec amour.
Nous avons tous autour de nous une bulle, plus ou moins large. En général, nous laissons pénétrer dans cette bulle les personnes de notre entourage proche. Mais si des étrangers la franchissent sans notre assentiment, cela nous met mal à l'aise (vous avez déjà pris les transports en commun aux heures de pointe ? aïe aïe aïe, ma bulle !!).

Or, pour pratiquer le shiatsu, il faut bien toucher la personne qui reçoit. Toucher à travers les vêtements, certes ; toucher les bras, les jambes ou le dos ; mais toucher !
Entre musiciens, on s'embrasse, on se prend dans les bras, on se touche facilement. Entre footballeurs aussi, si j'en crois la télévision ! En revanche, entre gens "normaux", cela ne se fait pas trop, me semble-t-il…

Toucher avec une intention bienveillante, voilà le premier pas vers la pratique du shiatsu.
Et moi, j'adore ça !